L’endométriose est une maladie chronique et complexe qui touche 1 femme sur 10. Pourtant, ce sujet reste encore tabou dans le monde du travail.
65 % des femmes qui en sont atteintes considèrent que la maladie a un impact négatif sur leur travail : difficultés de concentration, absences pour gérer les douleurs ou les soins, baisse d’efficacité, etc.
L’endométriose expose les femmes concernées à des risques de discrimination, de perte d’opportunités professionnelles, voire de désinsertion professionnelle.
Du 24 au 28 mars 2025, à l’occasion de la semaine de l’endométriose, Présoa ouvre le dialogue pour mieux comprendre cette maladie et conseiller les employeurs sur les actions à mettre en place pour soutenir les salariées souffrant de cette pathologie invisible.
ENDOMÉTRIOSE ET TRAVAIL : DES SOLUTIONS EXISTENT
Il est important de sensibiliser votre personnel féminin à parler de l’endométriose au médecin du travail, afin d’assurer un suivi adapté.
En effet, au-delà de la possibilité de bénéficier de jours de télétravail ou de congés supplémentaires, sachez que des solutions existent pour faciliter le travail des femmes atteintes d’endométriose, dans de bonnes conditions, tant pour elles que pour l’entreprise :
- l’évitement des positions statiques prolongées,
- l’adaptation des tâches difficiles,
- l’aménagement des locaux,
- la régulation de la charge de travail.

QUELQUES CHIFFRES
10 % des femmes sont atteintes d’endométriose.
Il faut en moyenne 7 ans pour diagnostiquer la maladie.
70 % des femmes souffrent de douleurs chroniques invalidantes.
40 % des cas d’infertilité sont dus à l’endométriose.
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Téléchargez le guide « Endométriose et travail : comprendre et agir ».
Ce livret propose aux managers et employeurs des actions à mettre en œuvre pour faciliter le travail et le maintien en activité des salariées atteintes d’endométriose.
Extrait du journal LES ECHOS de Présoa de mars 2025.



